Correction Coquilles - le blog

Préface d'En espérant que tu n'oublies jamais

La préface, signée Anna Joy (pseudonyme de Fanny Barba, votre correctrice et rewriter préférée), du recueil de Yohann Larousse, En espérant que tu ne m'oublies jamais, présente les nouvelles en quelques mots :

 

 

Ouvrez la porte du livre comme si vous entriez dans un jardin,

Rencontrez ses habitants, ceux qui sont seuls et tristes,

ridicules ou insatisfaits, souvent attachants,

et à qui il arrive l'extraordinaire.

 

Réjouissez-vous de leurs retrouvailles incroyables,

étonnez-vous de ce présent revigoré par le passé,

ou détruit irrémédiablement par lui.

Dans ce jardin, présent et passé se superposent souvent.

C'est courant lorsque des secrets, des pertes, des rancunes

ou l'amour fou animent le cœur des familles.

En espérant que tu ne m'oublies jamais

révèle l'attachement de l'auteur à ses personnages,

à leur destin et à leur souffrance, parfois à leurs folles idées.

 

joel-robison3.jpg

Joel Robinson

 

Quand ce n'est plus le passé qui distille ses fantômes,

le fantastique se nourrit de la stupidité de certains,

de l'insatisfaction ou de la jeunesse des autres.

Observez les objets qui vous semblent si communs et si quotidiens

et qui se révèlent être autant de clefs vers le surnaturel.

Cramponnez-vous lorsque celui-ci surgit de derrière un buisson !

 

Vite emporté dans l'histoire, rien ne surprend vraiment,

tout renforce l'émotion, la surprise et le drame.

Le fantastique est esquissé pour mieux se faire oublier,

le diable fait rarement des apparitions franches.

Certes, la mort rôde dans ce jardin, cruelle, implacable

mais toujours au service du talent de l'auteur.

 



13/01/2014
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